Rencontre en salle théâtre, au lycée, avec Jean-Pierre Vincent, metteur en scène de Iphigénie en Tauride, Goethe.
J.-P. Vincent explique la nécessité de proposer un spectacle hors d'une dramaturgie du chaos.
Discussion autour de la question d'une nouvelle traduction, dans la mesure où toute traduction veillit très vite.
L'envie, pour lui, de conserver trois temporalités: l'Antiquité, le XVIIIème allemand (Aufklarüng), aujourd'hui.
La nécessité impérieuse de faire, avant tout, entendre un texte.