Poursuite du travail sur Les Perses d'Eschyle et la tragédie
Groupe le chant dans la tragédie
Une proposition qui avance, avec un travail sur le théâtre d'ombre.
Cependant, la place du chant est absente pour une partie du groupe.
Il s'agit de le prendre en charge, sans pression, comme un objet de travail , un peu comme on travaillerait le masque, sans se focaliser sur le rendu.
Le groupe décide malgré le blocage actuel de poursuivre sur cette thématique et de s'emparer de la question du chant en commun.
 
Groupe la musique dans la tragédie
Une proposition qui avance.
Il y a de la sensualité dans le premier tableau.
Peut-être faut-il ajouter quelque chose à ce tableau, .
La scène reste troublante, et c'est ce qui la rend intéressante. Tout n'est pas expliqué à celui qui regarde.
Peut-être peut-on travailler la question du corps au centre, à la manière dont Maguy Marin la travaille  par exemple dans Baby.
La séquence de lutte à distance entre les deux femmes est peut-être à préciser. Qui sont -elles?
Travail de reformulation du texte final avec ses propres mots.
Groupe le choeur dans la tragédie
Une proposition qui avance. Un trvail sur le jeu d'ombre (Dionysos).
Il est inteéessant qu'on ne comprenne pas tout de suite, que tout ne soit pas expliqué à celui qui regarde.
Le groupe propose d'ajouter un tableau supplémentaire sur le choeur contemporain.
La question du statut du messager est posée: à vue ou non, dans le noir ou non  ?
Quelle est la nature de l'attente du choeur avant l'entrée du messager?
Le messager s'adresse à chaque individu du choeur, sans forcer la profération, afin de gagner en puissance.
Le messager peut tout à fait refromuler son proposer, hésiter, au présetn du plateau.
 
Pour tous les groupes: rendre concrète la parole, avoir la préoccupation de faire entendre chaque mot, concret, à celui ou celle à qui on s'adresse.

Date de dernière mise à jour : 01/10/2019

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