Clélia avec Jérémy
Regard à accrocher à une personne du public. Prendre le temps sur l’entrée
Apparition de Jérémy, c’est le livre
Peut-être un moment d’adresse entre eux
« Il n’y a rien, rien à faire » peut-être en trop
Se remémorer dans quel état on est à 9h
Garder l’entrée de Jérémy sur « je suis seule »
Je m’ennuie, passer directement à « j’ai un livre »
S’enlacer
Ne pas appuyer sur le verbe dévorer
Accepter la proposition de l’autre
Voir toujours jusqu’où on peut tenir une position
Puis avancer et adresser au public
Peut-être prendre un fragment du poème
Monique, avec, Zara et Sophie
Lié plus le début, laisser ouvertes les phrases, sans point
L’idée du déménagement : après les meubles, le public
Regard sur le public, et entre elles avant d’aller vers le public
Ce qui peut changer c’est la discussion dans l’espace de la chambre entre Jessica et Carolina
Essayer que la narratrice et Jessica soit la même comédienne
Trouver le merveilleux, comme dans un conte, du déplacement des choses, par la voix, le costume
Le début du dialogue se fait dans une action, et l’action serait de se costumer
Créer une rupture
D’abord les princesses qui se costument et échangent, puis elles changent tout, radicalement, abandonnent ce rôle de petite filles/princesses
Zara, avec Monique
L’idée forte des chaises alignées, et à continuer à la placer hors champ
Installer les chaises
Revenir au récit, avec juste le passage en bosniaque avec la mère à la fin
Sophie et Elina
La question du sable, qui relierait les autres récits
Jérémy et Clélia
Commencer peut-être par le dialogue, puis le récit
Pour toutes et tous : aller à l’essentiel, resserrer les récits, comme des chocs, des flashs