Sixième séance de pratique avec Blanche Giraud -Beauregardt

L’adolescent

La scène avance.

Tessa : aller vocalement au-dessus de ce à quoi tu t’es habituée, élargir la proposition.

Maïa :  ne pas rester tournée sur la fin de a tirade

Tessa : laisser un temps avant « L’ivresse du Néant ? »

« Tout n’appartient pas à la mort » : à traiter. Le théâtre comme une aventure contre la mort.

Le regard de Moi-même et du poète mort trop tôt sur l’adolescent est attendri

Arthur : trouver du corps dans cet adolescent, sans pour autant illustrer les mots par le geste.

Le café offert par moi-même est pour l’adolescent comme le sang du Christ, ou presque.

Attention aux finales :  Mystérieuse Joie/ Miséricorde

 

L’ascension de Moi-Même

Le canevas n’est pas retrouvé d’emblée.

Il faut marquer les entrées de jeu dans les rôles successifs, retrouver la précision nécessaire qui indique qu’on passe à un autre personnage.

Sur l’épée de bois, que tout le groupe soit concerné. Trouver les variations, ne pas passer tout en force

Il faut trouver les ruptures à l’intérieur des propositions ( «  on connait votre goût pour les jeunes garçons en sueur » / «  Je connais bien sa mère » etc…).

Il ne faut absolument pas débiter linéairement tout ceci.

S’appuyer, constamment sur l’autre, qui reste en jeu même s’il ne dit rien. Ne surtout pas s’arrêter de jouer parce qu’on est en écoute.

Retrouver l’énergie globale, sans quoi la scène est plate.

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