Suite du « monstre » réalisé lors de la séance précédente
- Scène 5
- Chœur 3
Retours d’Amélie sur chaque proposition
Attention : les textes ne sont pas toujours sus ! Ce n’est pas normal à ce stade !
Scène 1
Le texte peut amener l’image (plutôt que l’inverse, c’est-à-dire faire advenir l’image avant la parole)
Le fait d’enlever les chaussures créé une intimité intéressante.
Ressentir la pauvreté de Tantale. Il y a une véritable peur chez lui, à interpréter. En faire un pauvre homme.
Quant aux furies, peut être abandonner l’idée d’une chorégraphie d’ensemble. La furie n’est pas un personnage extraordinaire, c’est plutôt un spectateur/metteur en scène. Elle imagine, propose et dispose dans l’espace. Quad elle dise qu’on met la table peut être construisent-elles cet espace-là. Il y avait quelque chose de fort dans la proposition sur le passage de Jupiter.
Chœur 1
Proposition inventive, une dimension expérimentale. La tenir jusqu’au bout. Peut être privilégié l’entrée shamanique et ne pas se laisser embarquer par le burlesque que peut lire le public.
Scène 2
S’appuyer plus sur l’exercice de la séance précédente : l’espace entre point A et B est à prendre comme un espace de vie, de jeu.
Scène 3
Bonne improvisation, notamment, de la chaise par Léa, qui devient étrange de ce fait
Chœur 3
Intéressant de le commencer comme une explication dramaturgique, mais cela doit évoluer après, et glacer le spectateur, de manière directe.
Scène 5
Ne pas capturer l’imaginaire. Ne pas se lever tout de suite tous deux.
Peut être qu’Alicia fabriquerait des couronnes tout au long du montage
Choeru3
Il faut réussir à se parler plus qu’à nous parler. Prendre, après les rires, le virage du sérieux. Sans doute faut- il s’arrêter de mimer
Re-travail en groupe jusqu’à la fin de la séance pour tous
A l’issue du concoctage, réalisation d’un « monstre », c’est-à-dire d’un bout à bout brut des scènes