Sixième séance de pratique avec Pauline Ringeade

- Point sur les parcours libres à présenter mardi prochain.

- Echauffement

Travail sur les scènes de L’Eveil du Printemps

Acte II, scène 7

Maréva, Aleksander

Moritz : le monologue du début ne doit pas trop s’interrompre, au risque de perdre le fil de la pensée pour le spectateur. Il peut s’appuyer sur une adresse concrète au public, au début.

Fermer le sens des phrases en mettant des points.

Le passage sur le temps permet de réouvrir.

A partir de « je marche à l’autel », trouver un autre rapport à l’espace.

Ilse : certains passages peuvent êtres plus concrets, plus adressés à Moritz. Le passage sur Henri peut avancer un peu plus, sans quoi on perd un peu de gravité. Il peu y avoir un peu plus d’urgence à dire.

Ilse est séductrice, maitrise ce qu’elle dit au début de la scène, mais cette maitrise se perd à partir de l’évocation d’Henri.

 

Acte I, scène 3

Mana, Maud, Tasnim, Léna

Que pensent les filles de ce qu’elles disent au début de la scène ? Elles font quelque chose d’interdit, au début de la scène, et cela leur procure du plaisir avant tout.

Martha a besoin de savoir, savoir comment cela se passe chez les autres. C’est récurrent.

Note ; trouver, si possible, un vêtement de pluie rose ou rouge.

Le changement de comédienne pour Martha peut se faire en se passant le vêtement, tout en disant le texte, comme si un quatrième personnage se joignait à la scène.

Wendla trouve qu’être aimé par Melitta, c’est formidable.

L’instant de sidération des trois filles sur le passage de Melchior peut être davantage marqué, avant d’enchainer avec le texte.

Acte I, scène 5

Stan, Maëlis

Trouver un panier comme accessoire de jeu.

Si Melchior parle un peu trop fort au début, c’est qu’il est un peu gêné de rencontrer Wendla dans cette forêt.

Wendla n’est ni candide, ni pleine de sous-entendus. Son désir d’être battue passe, consciemment du moins, par la volonté de remplacer Martha, de la soustraire à ces mouvements traitements.

A la fin de la scène, la montée doit être progressive, pour ne pas arriver à un climax vocal trop tôt.

La baguette qui va servir à battre Wendla est un objet qu’ils tiennent à deux, et c’est avec cette baguette qu’elle l’incite à passer à l’acte.

Le moment final ou Melchior accepte de battre Wendla peut être jouer de différentes manière ( réaliste, mimant le réalisme, ou décalé dans la forme). S’appuyer sur le cadre à mi plateau, les deux corps étant distants l’un de l’autre, pour conserver la violence de l’acte, mais mis à distance de Wendla, physiquement sur le plateau

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